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J'ai écouté l'entrevue correspondant àC'est bien meilleur le matin, àla radio de Radio-Canada, peut-être disponible sur internet, mais voici l'article (http://www.src.ca/nouvelles/Index/nouvelles/200503/30/001-dallaire-booh-booh.shtml):
Roméo Dallaire vilipendé par son ancien patron
Mise àjour le mercredi 30 mars 2005 à9 h 27
Le général et sénateur Roméo Dallaire essuie de vives critiques sur son rôle lors du génocide rwandais dans un ouvrage publié par l'ancien représentant du secrétaire général de l'ONU au Rwanda, Jacques-Roger Booh Booh.
Dans son ouvrage intitulé « Le patron de Dallaire parle », le diplomate camerounais, qui dirigeait la mission de l'ONU au Rwanda lors du génocide de 1994, accuse Roméo Dallaire d'avoir saboté la mission de l'ONU dans ce pays.
M. Booh Booh ajoute que le général Dallaire n'avait pas àl'époque une bonne connaissance des questions africaines et les compétences requises pour diriger les troupes de l'ONU au Rwanda.
Des accusations farfelues réplique Dallaire.
Particulièrement critiqué par le général Dallaire dans son livre « J'ai serré la main du diable », Jacques-Roger Booh Booh réplique aujourd'hui en accusant l'ancien général canadien d'avoir sapé l'action diplomatique de la mission de l'ONU au Rwanda parce qu'il convoitait les fonctions qu'occupait alors M. Booh Booh.
Le diplomate ajoute dans son livre que Dallaire écoutait ses conversations avec des micros cachés, et qu'il aurait fermé les yeux sur des convois d'armes destinés au Front patriotique rwandais.
Rejoint àBoston par le quotidien La Presse, le général Dallaire, récemment nommé sénateur par le premier ministre Martin, a rejeté les accusations de son ancien patron, qualifiant même certaines de farfelues.
Disons que j'aurais tendance, de prime abord, àcroire le Général Dallaire les yeux fermés. Son intégrité n'est pas àfaire et connaissant les scandales et la bureaucratie onusienne, disons que mon vote va àDallaire. Ã l'ONU, ça fait de la politique et ça protège son derrière disons. Rien d'étonnant que Booh-Booh rejette le blâme sur Dallaire, c'est jamais la faute de personne àl'ONU, personne ne veut prendre de responsabilité et les assumer.
Roméo Dallaire vilipendé par son ancien patron
Mise àjour le mercredi 30 mars 2005 à9 h 27
Le général et sénateur Roméo Dallaire essuie de vives critiques sur son rôle lors du génocide rwandais dans un ouvrage publié par l'ancien représentant du secrétaire général de l'ONU au Rwanda, Jacques-Roger Booh Booh.
Dans son ouvrage intitulé « Le patron de Dallaire parle », le diplomate camerounais, qui dirigeait la mission de l'ONU au Rwanda lors du génocide de 1994, accuse Roméo Dallaire d'avoir saboté la mission de l'ONU dans ce pays.
M. Booh Booh ajoute que le général Dallaire n'avait pas àl'époque une bonne connaissance des questions africaines et les compétences requises pour diriger les troupes de l'ONU au Rwanda.
Des accusations farfelues réplique Dallaire.
Particulièrement critiqué par le général Dallaire dans son livre « J'ai serré la main du diable », Jacques-Roger Booh Booh réplique aujourd'hui en accusant l'ancien général canadien d'avoir sapé l'action diplomatique de la mission de l'ONU au Rwanda parce qu'il convoitait les fonctions qu'occupait alors M. Booh Booh.
Le diplomate ajoute dans son livre que Dallaire écoutait ses conversations avec des micros cachés, et qu'il aurait fermé les yeux sur des convois d'armes destinés au Front patriotique rwandais.
Rejoint àBoston par le quotidien La Presse, le général Dallaire, récemment nommé sénateur par le premier ministre Martin, a rejeté les accusations de son ancien patron, qualifiant même certaines de farfelues.
Disons que j'aurais tendance, de prime abord, àcroire le Général Dallaire les yeux fermés. Son intégrité n'est pas àfaire et connaissant les scandales et la bureaucratie onusienne, disons que mon vote va àDallaire. Ã l'ONU, ça fait de la politique et ça protège son derrière disons. Rien d'étonnant que Booh-Booh rejette le blâme sur Dallaire, c'est jamais la faute de personne àl'ONU, personne ne veut prendre de responsabilité et les assumer.